Le monde rythmé

Naviguer sans retenu au cœur de l’imaginaire, au seul plaisir de la lecture de la forme.

Le drakkar

«La barque de viking », c’est ainsi que j’ai baptisé cet objet « auget » dont j’ignorais la fonction. L’objet dont j’ignore l’origine et l’usage, l’objet mystère me touche d’autant plus. Je me laisse aller au plaisir de l’imaginaire, au seul plaisir de la lecture de la forme. J’ai été d’autant plus ravie lorsque j’ai appris que le collectionneur et conservateur à l’origine du musée l’appelait le drakkar. V.L

« Il me semble que l’on va plus loin que le constat de la forme, à la façon de Breton, celui que nous avons fait spontanément, en y mettant une part d’imaginaire (drakkar, barque de Viking). En effet l’image du cheval est suggérée par le mouvement de l’auget du moulin, par le bruit du fusoir contre ce dernier, par l’écoulement du grain qui rappelle celui de l’avoine. Ce n’est pas l’auget qui a imposé au meunier rouergat l’idée du cheval (que d’autres n’ont point conçue), mais bien « quelque chose de vivant », qu’il a traduit aussi par des formulettes rythmées ». J. D.

L’objet mémoire

« Il m'évoque un geste aujourd'hui disparu mais qui a perduré  jusqu'au  XXème  siècle  dans  de  nombreux vignobles : celui de fouler le raisin aux pieds. »

V. L.

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